CHOP [tʃɔp]
n. f.
(Emploi critiqué). Côtelette (le plus souvent en parlant du porc).
2008, Amidelalune, Côtelettes de porc (« chops »), Wikimedia Commons. https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Pork-chops-001.jpgChop de porc (frais), de lard.
Achète des chops de porc frais, j’aime ben ça! 1958, O. Légaré, Zézette, 14 février, p. 5 (radio).
Du bœuf, il y en avait de temps en temps. Des fois de la saucisse. Des fois, ils montaient [dans les chantiers] des animaux en vie, pis on les tuait, pis on faisait cuire du foie, pis on faisait cuire du steak. On faisait pas les chops comme aujourd’hui, pis les viandes hachées, pis tout ça. 1965, Hérouxville (Champlain), AFEUL, N. Lafleur et L. Ouellet 72 (âge de l’informateur : n. d.).
Vers le début de décembre, c’était la boucherie. [...] Ma mère, avec le sang faisait du boudin et ensuite elle faisait de la saucisse, des cretons, de la tête fromagée et des chops de lard. 1983, Shawinigan-Sud (Champlain), dans S. Fournier et É. Poirier, Fruitages de la Mauricie, t. 1, p. 10.
Histoire
Depuis 1906 (FSPFC; dès 1902 dans AnFaut-4 qui donne mutton chops comme une faute à corriger par côtelettes de mouton). De l’anglais (v. OED et Webster 1986).